Long chemin de terre

*Cela fais plusieurs heures que je marche, et toujours rien ...*
*Je ne sais pas même comment je de quel manière je suis apparus ici*
*Rien à l'horizon, uniquement de la terre desséchée*
*Vais-je sortir d'ici ?*
L'homme sortit son arme
*Elle m'aidera à marcher*
L'homme se servit de son arme pour marcher
*Cette route, n'a pas l'air de finir ! Mais comment suis-je arrivé ici ?*
*Dans aucun compte ou dans aucune légende, l'on ne parle d'un long chemin de terre qui ne fini point*
*Uniquement mes habits, rien d'autre, et la faim se fais sentir ...*
*Pas de nourriture, pas de sac, pas de sandales, uniquement mes habits, et ma Yari ...*
*Est-ce ma fin ?*
*Si tôt ?*
L'homme, épuisé, s'assit
*Peut-être, si je dors, tout redeviendras normal ?*
*Je n'ai rien à perdre ...*
L'homme s'allonge, et semble s'endormir de suite


[HRP]Désolé si c'est un peut court ou mauvais, mais c'est mon introduction, et je ne sais vraiment pas quoi dire ou faire[HRP]

Quand il se réveilla, rien n'avais changer ...
Il s'assit, réfléchissant s'il faut rebrousser chemin, ou continuer
Après quelques minutes, il pensa qu'il était mieux de continuer
Il repris sa Yari, son sac, et repris le chemin
Après plusieurs heures de marche, il vit que le terrain commença à changer
Et il décida de continuer, vers une chose floue au loin, ne sachent réellement pas ce que ça pouvais être !

Cheng Bao marcha le long du chemin de terre afin d’aller retrouver son maître au château de Koshi. Il marchait sans s’arrêter avec détermination, il maintenait une cadence relativement rapide pour un sol si abimé par le temps.

*Seigneur Orochi, bientôt je serais là pour vous aider à massacrer ces incapables de résistants…*

Un bruit quasi imperceptible se fit entendre derrière lui, il se retourna mais ne vit rien qu’un chemin désert.

*Ca doit être la fatigue sans doute…*

L’homme reprit sa route, la main sur arme au cas ou. Il se sentait fier de pouvoir servir Orochi, et également empli de haine envers la résistance, il voulait leur faire payer la mort de ses frères. Son épée noire les transpercerait, il se le jura.

Au bout d’une heure de marche il décida de faire une halte. S’asseyant par terre il prit une gorgée d’eau dans sa gourde. Sa gorge lui faisait mal à cause de la déshydratation qui était imminente.

*En verrais-je la fin ? Y’en A-t-il une ?*

« Bien évidemment…. »

Il se surprit a parler à voix haute. Il secoua la tête pour se reprendre puis reprit sa route, sans savoir si elle le menait là ou il voulait et devait se rendre.